Sunday, March 25, 2012

Tom Lehrer aside... (click here, too.)

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... another book review (click here.)

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In Judging Edward Teller, by Istvan Hargittai, another Hungarian from a subsequent generation who met Teller, the story of the life of this prominent nuclear engineer / scientist is told from start to finish using an excellent narrative style and attention to the details of Teller's life that keep the pages turning.  The story begins with the birth of Teller in Hungary on January 15, 1908, his early life and early scientific training in Hungary.  Then his continued training in Germany and later, study in American academia, and of course his role in the development of nuclear weapons.  Teller is associated with four other Hungarian scientists of his age who made outstanding contributions to their own fields - Leo Szilard, Theodore Von Karman, John Von Neuman, and Eugene Wigner [and Edward Teller.]  All the people Teller knew were international people and his story as developmental of a great mind is compelling and is told substantively while evading overriding but salient topics such as the nazification of Central Europe during his youth, the bitter battles of World Wars I and II, and other conflicts that obviously battered European society and caused many to emigrate outside the continent permanently after WWI, for example.  That this story leaves out people like Andrew Grove of Intel, another of Teller's young colleagues is a kind of snub, unless these people were indeed very unaware of each other which is unlikely.

The text examines anew the development of the hydrogen bomb in a way any reader can comprehend and largely avoids political considerations, but does illustrate the importantly damaging spying the soviets did on the U.S. nuclear program.  It is in all respects a moral triumph and a practical one that Teller's hydrogen bomb was never used, but that it has carried much weight as a talisman of superiority for the U.S., and rightly so, in any talks about arms that took place between the Americans and U.S.S.R. / R.F. up to this day.  For another review, click here.

Sunday, March 11, 2012

Un ami, Fouad.

L'anti - anti mémoire


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Une Rencontre - Milan Kundera.

Ce livre de Milan Kundera, un auteur aussi lettré que tous les auteurs dans la littérature d'aujourd - hui, même plus, exprime pour la plupart les rencontres envers les anées de Kundera et ses amis intellectuels; ceux - ci étant de tous les coins du monde et de tous les formations et influences.  Aussi pour la plupart ils étaient des hommes influents dans l'art et la littérature, quelques d'entre eux fûrent ses aiëux intellectuels, et la majorité encore étaient vivants au moment où Kundera les aient connus.  Au cours de ce mémoire en forme de roman, on aurait tenu séance avec Francis Bacon, Samuel Beckett, Picasso, Bergsson, Valéry, Dostoïevsky, Céline, Biensczyk (un autre influent Tchèque,) Anatole France, Rabelais, Beethoven, Carlos Fuentes, Xenakis, Bréton, Césaire (du Haïti,) Vera Linhartova, Oscar Milosz, Ernest Breleur, Janacek, Schöenberg, et Max Brod, Philip Roth, et Malaparte, parmi d'autres romanciers, ecrivains, artistes, exilés, musiciens et encore des grands personnages du présent et d'antan. 
Les thèmes sur l'écran de ce texte mettent un appui sur l'art abstrait, quoqu'il soit le genre, critique, existentiel, romantique, réaliste, et encore, abstrait; tous intégrés à l'histoire de ce mémoire intégral qui rappelle au lecteur les réalités et les rêveries, la mémoire et les oublis de ces personnalités Tchèques, Allemands, Français, Canadiens, Anglais, Russes, et autres localités ayant fit face aux non - conformistes et legs des radicaux de Mai 1968 et ses conséquences:  Ceci étant le thème sur tous les idées courantes de ce texte - et les évènements à Prague, Paris, et partout.  Beaucoup de ce texte fut consacré a la mortalité de ces personnages au moment de leurs vies et la conduite de leurs vies et responsabilités en connaissance des effets de la guerre, surtout celles de la deuxième guerre et la guerre froide.  La vie illustrée et les funérailles d'Anatole France ont mis en relief les détails saisissants des histoires des personnes faisant partie et soutenues lors ces paragraphes rappellant des oublis et écrits sur les exilés, les listes noires, les condamnés resortissants de l'Europe de l'Est et ailleurs en Amérique et au Canada.  L'histoire illustrait également à côté des émigrés les amis de Kundera qui ont resté avec l'idée à l'esprit que les exilés dans leurs propres pays et régions n'y revenaient pas dès la fin du communisme.  Les raisons pour avoir évité une piste de retour dans leur pays après la fin de la guerre froide, sont laissées au lecteur, mais l'exemple de, et perceptions sur la vie de Malaparte nous donnent des aperçus nous - mêmes sur le sujet de l'exode à partir des pays de l'Europe de l'Est et autres ou l'on trouvâsse il y a une fois des communismes.  Dans le texte, autant de détails mettent en relief ces idées sans leur discuter directement en relief et aussi entre les lignes.  Ce texte, sommaire de "rencontre" entre lecteur et auteur et ses personnages, soit donc un volume pour la lecture et de nouveau pour la re - lecture.

THS